Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Baptême
La Première communion est un des sept sacrements de l’église catholique.
C’est au cours d’une messe que les baptisés reçoivent pour la première fois le
corps et le sang du Christ, symbolisés par une hostie.
Les enfants se préparent tout au long de l’année pour ce jour spécial.
Dans l’assistance, la famille des enfants est présente et assiste avec intérêt
au sacrement de leur enfant. Un moment fort pour les parents qui transmettent ainsi la religion à leurs enfants.
La Première communion est aussi un jour de fête. Après la cérémonie religieuse, la journée se poursuit souvent par un repas en famille, pour marquer cet événement fort de la vie d’un catholique.
Si vous souhaitez que votre enfant communie pour la première fois dans nos paroisses, vous êtes invités à inscrire votre enfant via le lien ci-contre.
Quand un enfant doit-il faire sa première communion?
Au début du XXème siècle, l’Eglise admet que les enfants qui ont atteint l’âge où ils commencent à raisonner, c’est-à-dire vers sept ans, soit même en dessous, fassent leur première communion.
Aujourd’hui c’est toujours l’âge de raison (vers 7 ans) qui est l’âge de référence à partir duquel il faut que les enfants soient préparés à accéder à la communion. Cependant, cet « âge de raison » est théorique et différent selon chaque enfant. De même que le degré de conscience du sacrement et la préparation à celui-ci sont différents pour deux enfants de même âge.
Pour qu’un enfant puisse recevoir l’Eucharistie, il faut qu’il ait une certaine connaissance du christianisme et qu’il ait fait une préparation approfondie. Le plus important est qu’il comprenne le mystère du Christ selon ses capacités et qu’il puisse recevoir le Corps du Seigneur avec foi et dévotion (notamment qu’il sache distinguer le pain eucharistique du pain ordinaire et corporel).
Dans notre unité pastorale, nous accueillons pour la préparation à la première communion les enfants qui sont en 2ème année primaire. Le cheminement dure deux ans.
Pour plus d'information, veuillez prendre contact avec Mme Midrolet, dont les coordonnées sont renseignées au-dessus de cette page.
