Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Proposer le sacrement des malades, (autrefois appelé extrême onction) c'est reconnaître la maladie, reconnaître que la grande vieillesse est un moment qui peut être difficile à vivre, c'est dire à celui qui souffre: "le Seigneur se veut proche de toi dans ces moments difficiles".
Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions "extrême onction" et "derniers sacrements". La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.
Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.
Baptême
VOICI QUELQUES TEXTES QUI ONT AIDE A LA PRIERE A L'OASIS
- Les hommes levain du monde nouveau (M. Hubaut)
Béni sois-tu, Seigneur, pour ceux qui refusent l’escalade de la vengeance, levain du pardon.
Béni sois-tu, pour ceux qui brisent les frontières entre les peuples, levain de fraternité.
Béni sois-tu, pour ceux qui refusent la fatalité des guerres, levain de paix.
Béni sois-tu, pour ceux qui abolissent les distances pour aller soigner les pauvres de tous les continents, levain de guérison.
Béni sois-tu, pour ceux qui luttent contre toute forme d’injustice, levain de libération.
Béni sois-tu, pour les hommes et les femmes de prière, levain de silencieuse adoration.
Béni sois-tu, pour toutes les communautés chrétiennes qui se rassemblent dans le monde entier, levain de ton Église universelle.
Michel Hubaut
Béni sois-tu, pour ces hommes-levain, habités par ton Esprit, que tu as enfouis aux quatre coins du monde, au plus profond de la pâte humaine.
Ils sont, par contagion, ton Royaume d’amour qui transfigure ta création.
- Thomas ! (Yolande Weibel)
Toutes les portes sont closes.
Tes yeux rougis se posent
Sur chacun de tes frères.
Tu revois le Calvaire…
Comment peuvent-ils
Affirmer que le Maître
Est ressuscité ?
Toi, tu ne peux oublier.
Ton esprit est tourmenté
Par d'obsédantes images :
Le sang sur son visage,
L'effroi, votre déroute.
Le doute, toujours le doute !
Jésus franchit le seuil.
Aveuglé par le deuil,
Tu ne peux reconnaître
Le corps glorieux du Maître.
C'est le huitième jour, Thomas
Jésus vient exprès pour toi.
Tu es devant le Premier-Né
Qui a subi les outrages.
Vois son regard de Lumière,
Il a fait le Grand Passage.
Thomas, mon jumeau, mon frère,
Contemple le Ressuscité !
Je suis comme toi, Thomas,
Quand je végète, à l'étroit,
Dans mes trahisons
Et mes peurs.
Tous les livres de Yolande Weibel
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- Du tombeau vide jaillit la lumière... (G. Lecleir)
- Béni sois-tu, Jésus ressuscité, pour ce printemps de notre vie où tu nous invites chaque jour à nous donner comme Toi.
- Béni sois-tu, Seigneur, car ton regard change notre regard: le petit est grand à tes yeux et le serviteur reçoit la meilleure place.
- Béni sois-tu, Seigneur, car l'aveugle voit ta lumière, le boiteux bondit vers Toi et toute mort revivra.
- Béni sois-tu, Seigneur, car tu es source d'eau vive jaillissante en nos vies pour que l'éternité devienne réalité.
- Béni sois-tu, Seigneur, car ton pardon nous transfigure et nous invite à pardonner pour que tout homme soit notre frère.
-Béni sois-tu, Seigneur, car ton tombeau est vide pour que nos tombes disparaissent et il ne reste que ta Vie.
- Béni sois-tu, Seigneur, car ton Esprit nous ressuscite et nous aide à faire comme Toi la Volonté de notre Père.
Amen. Alléluia.
- Faire route avec toi Seigneur (auteur inconnu)
Je veux faire route avec toi, Seigneur, c’est toi que j’ai choisi !
Je veux t’aimer et te rester fidèle au long des jours.
Mais, accorde-moi de la patience, Seigneur, il me faut du temps pour répondre à ton appel.
Pardonne mes faiblesses, Seigneur, pardonne aussi mon doute et mon infidélité.
Ce sont les signes de mon humanité.
Donne-moi le courage de te suivre toujours, l’honnêteté pour adhérer à tes paroles,
L’humilité pour accueillir mes frères, la force pour être fidèle à ton enseignement.
Réveille en moi le désir d’accueillir, chaque jour, la lumière de ton Évangile.
Écoute, Seigneur, le chant de ma prière.
Je veux faire route avec toi, c’est toi que j’ai choisi !
Je veux t’aimer et te rester fidèle au long des jours.
- J’ai besoin de toi, dit Dieu. (auteur inconnu)
- Il me faut tes mains qui s’ouvrent pour donner,
qui se joignent pour prier. Je n’aime pas tes poings fermés.
- Il me faut tes bras qui s’étendent pour accueillir,
qui aident l’estropié à tenir debout, qui louent les merveilles de ma création.
- Il me faut tes pieds et tes jambes pour courir vers les mal-aimés, les malades,
pour faire le premier pas de la réconciliation, pour marcher sur le chemin des hommes.
- Il me faut tes épaules pour charger les lourds fardeaux de la vie quotidienne,
pour porter ta croix, pour aider les autres à porter la leur.
- Il me faut ton visage pour exprimer ma douceur, ma compassion à mes frères,
pour communiquer la richesse de ton cœur, pour sourire à la joie de vivre.
- Il me faut tes yeux pour découvrir la souffrance qui n’a pas de paroles,
les joies, les délicatesses qui n’ont pas de noms ;
pour apprendre à aimer discrètement, tendrement,
pour admirer les merveilles quotidiennes.
- Il me faut tes oreilles pour écouter la souffrance murmurée,
pour saisir une demande d’aide non exprimée,
pour écouter le chant de l’oiseau, la musique d’une source et la joie du monde.
- Il me faut tes lèvres pour sourire à tes frères,
pour embrasser le mal aimé, pour chanter ma louange.
- Il me faut ton corps pour donner la vie,
pour embellir le monde, pour danser et communier à ma Vie.
- Je suis capable de faire des merveilles avec des morceaux de vie abîmée.
Si tu te laisses faire, tu auras la Vie en abondance.
- Dieu vous aime (Mère Térèsa)
Dieu vous aime
Et il vous aime si tendrement
Qu’il vous a gravé dans la paume de sa main.
Ce sont les mots même de Jésus inscrits dans l’Écriture.
Souvenez-vous en lorsque votre cœur est sans repos,
Lorsqu’il est blessé,
Lorsque votre cœur est prêt à se rompre ;
Alors, souvenez-vous en : Je suis précieux pour lui, Il m’aime.
- Puisqu’il est avec nous (Didier Rimaud)
Puisqu’il est avec nous
Tant que dure cet âge,
N’attendons pas la fin des jours
Pour le trouver...
Ouvrons les yeux,
Cherchons sa trace et son visage,
Découvrons-le qui est caché
Au cœur du monde comme un feu !
Puisqu’il est avec nous
Pour ce temps de violence,
Ne rêvons pas qu’il est partout
Sauf où l’on meurt...
Pressons le pas,
Tournons vers lui notre patience,
Allons à l’homme des douleurs
Qui nous fait signe sur la croix !
Puisqu’il est avec nous
Dans nos jours de faiblesse,
N’espérons pas tenir debout
Sans l’appeler...
Tendons la main,
Crions vers lui notre détresse ;
Reconnaissons sur le chemin
Celui qui brûle nos péchés !
Puisqu’il est avec nous
Comme à l’aube de Pâques,
Ne manquons pas le rendez-vous
Du sang versé...
Prenons le pain.
Buvons la coupe du passage :
Accueillons-le qui s’est donné
En nous aimant jusqu’à la fin !
